L'auteur
Avec près de trente romans publiés, pour certains couronnés par des distinctions et des prix aux Etats-Unis, Rita Herron sait comme nulle autre tisser des intrigues palpitantes autour de héros tourmentés. Une atmosphère électrique, sous tension, que l’on retrouve une fois encore dans Jusqu’au dernier souffle.
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Corinne C - 10/07/2021
Très belle histoire ++++
isabelle o - 13/08/2022
Très bon livre. On ne sais pas du tout jusqu’au bout qui est le tueur et c’est cela qui est intéressant...
A lire absolument pour un bon moment de lecture
Machut - 06/07/2021
Marie M - 26/02/2022
Le gros point positif de ce livre est qu’il est très difficile de deviner qui est le tueur, bien que la résolution arrive un peu comme un cheveu sur la soupe à mon goût. Il est écrit à la troisième personne et change souvent de point de vue : Lisa, Brad, le tueur, des personnages secondaires… Tout est fait pour faire monter la tension, les transitions se font bien, tout s’enchaine parfaitement. L’histoire traine parfois un peu en longueur mais, dans l’ensemble, elle nous donne toujours envie de connaitre la suite et d’arriver au dénouement !
Lisa est un personnage qui a dû se reconstruire après avoir été sauvée d’un tueur en série, qui s’avérait être son petit ami. Elle est tombée sous le charme de Brad, l’agent du FBI qui l’a sauvée, mais pense que ce n’est pas réciproque… De son côté, Brad n’a jamais pu oublier Lisa malgré le fait qu’il s’interdise d’aimer, et encore plus d’aimer cette femme qu’il n’a pas réussi à protéger. Ils vont se tourner autour et c’est dans ces moments-là que j’ai un peu regretté l’écriture à la troisième personne !
Entre la romance naissante entre Lisa et Brad – s’ils ne sabotent pas tout – et la traque d’un tueur en série, pas le temps de s’ennuyer avec cette nouvelle collection des éditions Harlequin. Une romance suspens à qui il manque quelques ingrédients pour que je sois totalement convaincue mais avec laquelle j’ai passé un bon moment de lecture (il faut dire que je suis une fan inconditionnelle du genre et donc très difficile !). Une chose à souligner : il faut vraiment se creuser les méninges pour deviner qui est le tueur et j’aime ça avec ce genre d’intrigues !