J’en attendais beaucoup de cette romance et au final j’ai été assez déçue. Le contexte historique de la guerre et de la place de la femme sur les champs de bataille est très intéressant et bien décrit mais l’histoire en elle comporte beaucoup de longueurs.
Ken, été 1812.
De retour de la guerre de l’indépendance espagnole, Jack Carstairs ne s’attendait pas à une telle réaction de sa fiancée. Sa cicatrice de guerre lui aura permis d’éviter une union désastreuse.
Londres, automne 1812.
Quand lady Cahill apprend que son petit-fils se terre dans une demeure laissée à l’abandon, la nouvelle de sa filleule Kate Farleigh est peut-être la solution pour son petit-fils.
Suite à une bévue, Kate est kidnappée par lady Cahill. Arrivée à destination, elle s’évanouie et est prise en charge par Jack persuadé qu’elle est la domestique de sa grand-mère. Amusé par l’impertinence et l’impétuosité de la jeune femme, Jack n’est pas au bout de ses surprises et Kate compte bien s’amuser de sa méprise. Mais à vouloir jouer avec le feu, celle-ci pourrait bien s’y brûler. Jeu du chat et de la souris avec des « Je t’aime, moi non plus » incessants.
Trop de longueurs pour avoir la trame intéressante (révélations de Kate à Jack à la fin) dans les dernières pages. Entre une impression que l’auteur comble son histoire et une lassitude certaine, j’ai été déçue ce qui est très dommage par rapport au contexte historique de la guerre dans la Péninsule Ibérique très intéressant.
Belle histoire, beaucoup de sentiments, une romance parfaite.