L'auteur
Après cinq ans passés dans le désert d’Arizona où elle élevait des chevaux, Linda Lael Miller est revenue vivre à Spokane, dans l’Etat de Washington, où elle est née. C’est dans ces cadres grandioses de l’Ouest américain qu’elle place ses personnages, des héros aux tempéraments forts et impétueux à l’image de la nature sauvage qui les entoure.
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Dans la même série
Les McKettrick
Premier livre sur les cowboys un dépaysement sympathique
J'aime beaucoup les histoires de cowboy donc je ne pouvais passer à coter de celle ci , sa se lit vite , j'ai trouver l'histoire pas mal. Après je trouve qu'elle lui pardonne bien vite même si des année sont passer mais bon c'est harlequin.
Contrairement au tome précédent, je suis tombée sous le charme des personnages de ce livre. Dans ce livre, on fait la connaissance des frères McKettrick et des sœurs Remington.
On commence avec les aînés, à savoir Tate, propriétaire du ranch « L’éperon d’argent » situé à Blue River au Texas, divorcé de Cheryl, une avocate et père de deux adorables jumelles de six ans, il a un passé avec Libby Remington, l’aînée des filles Remington.
Tate invite Libby à dîner dans son ranch, hésitante, elle finira par accepter et de fil en aiguille, ils vont réapprendre à se connaître et à se laisser une autre chance.
Au contact de Libby, Tate se rendra compte des sentiments qu’il a toujours pour elle mais qui étaient enfouis depuis son mariage et l’arrivée des jumelles.
Bien sûr, des petites embûches comme l’apparition de la mère des sœurs Remington après vingt ans d’absence et Cheryl qui sèmera la zizanie dans leur couple n’empêchera pas l’happy end qu’on attend.
C’est une romance banale ou l’on sait déjà qui sont les couples des tomes suivants mais Linda Lael Miller décrit si bien le décor dans lequel se déroule l’histoire qu’on a l’impression de faire une immersion et de se retrouver parmi les chevaux, dans un ranch entouré de cow-boys au Texas.
Les chapitres s’enchaînent, les pages se tournent rapidement et l’écriture de Linda Lael Miller est d’une telle fluidité qu’on arrive à la fin du récit sans s’en rendre compte.
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